vendredi 23 février 2007

Misiones Chutes IGUAZU Argentine



Les Chutes d'Iguazu

A la frontière entre l'Argentine et le Brésil, Le Parc National Iguazu réserve au visiteur un spectacle fantastique dans la forêt tropicale : la rivière Iguazu qui se déverse avec fracas du haut de 275 cascades dont la plus haute atteint une hauteur de 72 mètres, la célèbre Garganta del Diablo (la Gorge du Diable).
Le Parc National d'Iguazu
Le Parc National Iguazu a été créé en 1934 à la frontière de trois pays d'Amérique du Sud : Le Paraguay, l'Argentine et le Brésil. Mais c'est seulement dans ces deux derniers que l'on peut voir les fameuses chutes, inscrites dans le Patrimoine Mondial par l'UNESCO en 1986. L'Iguazu est un affluent du Parana et se nomme Iguaçu au Brésil. Les touristes qui viennent découvrir cette merveille de la nature peuvent loger soit en Argentine, à Puerto Iguazu dans la Province de Misiones, soit au Brésil, à Foz do Iguaçu dans l'Etat du Parana. Mais il existe de nombreux hôtels et campings dans toute la zone qui s'étend entre ses deux villes et les deux entrées du parc, en Argentine ou au Brésil.
Découverte des chutes
Les chutes furent découvertes au XVIème siècle par Alvar Nuñez Cabeza de Vaca, lors de la conqûete de la région par les conquistadors Espagnols. Imaginez le spectacle de ces eaux rugissantes et s'écoulant sur plusieurs kilomètres au milieu de la forêt amazonienne ! Un spectacle fantastique qu'aucun Européen avait pu voir auparavant.Aujourd'hui, les touristes n'ont plus besoin de revêtir des habits d'explorateur pour découvrir les Chutes d'Iguazu; le parc a été aménagé avec de nombreux chemins et passerelles pour faciliter la promenade des visiteurs sans dénaturer le site.
Les chutes du côté argentin
La plupart des chutes se situent en territoire argentin : 4 parcours vous permettront de les découvrir en vous approchant au plus prêt, pour les observer du bas ou du haut, en plein coeur de la forêt.Quand l'affluence n'est pas très importante, vous aurez peut être la chance d'observer la faune locale, des iguanes, des toucans et autres perroquets, des aigles survolant les chutes, des pécaris, des caïmans ou autres coatis.
Ces dernières années, le Parc s'est modernisé et un petit train amène les touristes jusqu'au départ des chemins de randonnées vers les chutes.Ce même petit train vous mènera jusqu'aux passerelles qui mènent à la Garganta del Diablo (la Gorge du Diable), une dépression impressionante où s'écoule avec fracas des milliers de litres d'eau au milieu de nuages de vapeurs irisés par des arcs-en-ciel.
Toujours du côté argentin, vous aurez la possibilité de vous rendre en bateau jusqu'à l'île San Martin rendue célèbre par Roland Joffé, le réalisateur du film Mission avec Robert de Niro et Jeremy Irons, Palme d'Or du Festival de Cannes en 1986.Les plus téméraires n'hésiteront pas à monter dans les embarcations de type zodiac qui s'approchent au plus près des chutes. N'oubliez pas votre ciré.


jeudi 22 février 2007

Le soja contre les indiens d'Argentine




Terre
Quand le soja transgénique expulse les Indiens argentins

Dans le parc d'Upsala, protégé par l'UNESCO. De nombreuses forêts sont brûlées pour faire place au soja. Photo UNESCO
OGM. Dans le Chaco, au nord du pays, les habitants sont dépossédés de leurs terres au profit de cette culture très rentable mais peu écologique.
Par Antoine BIGO
QUOTIDIEN : Samedi 22 juillet 2006 - 06:00
Resistencia envoyé spécial

Sous les fenêtres du siège du gouvernement de la province du Chaco, une centaine d'Indiens des communautés Mocovi, Toba et Wichi campent sous des tentes de fortune. Vivant à la lisière de l'«impénétrable», une savane aride piquetée de bosquets et de lambeaux de forêt, ignorés, sinon oubliés par le pouvoir local, ils réclament plus de transparence dans l'attribution des terres fiscales de l'Etat. Alors que la constitution locale donne la priorité aux natifs du Chaco, ces terres sont vendues à de puissants groupes agro-industriels des provinces proches de Córdoba ou de Santiago del Estero pour y cultiver du soja transgénique. Ces quatre dernières années, dans le Chaco, 840 000 hectares de bois ont été brûlés pour céder la place à l'«or vert» qui couvre la moitié des 12 millions d'hectares de la surface plantée argentine actuelle.
Brasiers. La «sojisation» de la campagne chaqueña commence à une centaine de kilomètres à l'ouest de Resistencia, la capitale de la province. Des fumées au loin et une odeur de bois brûlé rabattue par le vent chaud indiquent la présence des «démonteurs». Une fois le bois précieux coupé et emporté, les bulldozers arrachent et empilent les broussailles, qui disparaissent dans de gigantesques brasiers. «Le scandale, c'est qu'aujourd'hui, le soja commence à empiéter sur les réserves écologiques et aborigènes parce qu'il ne reste plus de terres fiscales», accuse Raul Vallejo, un des géomètres de l'Institut de colonisation qui a dénoncé l'usurpation des terres. «La direction de l'environnement de la province n'a qu'un inspecteur pour surveiller quatre millions d'hectares. L'"impénétrable" est devenu un territoire libéré, totalement hors de contrôle, et où la moitié au moins des plantations de soja est illégale. Plus grave, l'armée de l'air a découvert plusieurs dizaines de pistes d'aviation précaires, évoque 500 vols clandestins par an, et le passage par le territoire du Chaco de 70 à 80 % de la drogue qui entre en Argentine», continue Vallejo.
La culture du soja transgénique est aujourd'hui si rentable que Walter Zanuttini, avocat de l'Institut aborigène chaqueño (IACH), n'hésite pas à invoquer une «mafia du soja» jouissant de complicités au sein des autorités locales, y compris de la justice. Le scandale, dénoncé par une poignée de fonctionnaires honnêtes de l'Institut de colonisation, a obligé le gouvernement du président Kirchner à réagir. Luis d'Elia, sous-secrétaire d'Etat à la Terre et à l'Habitat social, a pris la défense des aborigènes : «Je les ai encouragés à dénoncer pénalement l'attribution ou la culture illégale de terrains, et, parallèlement, j'ai offert au gouvernement du Chaco ma collaboration pour l'annulation des ventes qui ne respectent pas la loi.» Walter Zanuttini a recensé 5 040 plaintes qui concerneraient près d'un million d'hectares. L'Institut de colonisation s'est engagé à en prendre en considération 300, et vient d'annuler la vente de 10 000 hectares à une famille originaire de la province de Córdoba, 800 km plus au sud. «Les autorités locales tentent de justifier leur entorse à la loi en invoquant le retard culturel des aborigènes. Les Indiens du Chaco, vivant de la cueillette, de la chasse et d'un peu d'élevage, seraient incapables de mettre en valeur leurs terres», continue Zanuttini. Dans cette communauté isolée, le taux de dénutrition atteint 67 %, l'analphabétisme 60 % et l'indigence 92 %. La révolte actuelle a surgi lorsque des aides financières de l'Etat après des inondations catastrophiques ont été détournées par les maires des villages les plus touchés. Les glissements de terrain provoqués par le ravinement des sols ont isolé pendant un mois Tartagal, une ville de 70 000 habitants. «Si la déforestation continue à ce rythme, dans dix ans le Chaco sera un désert», avertit Raul Vallejo.
Prête-noms. Le scandale des ventes illégales de terrains est triple et débute par un négoce immobilier juteux. Les fonctionnaires véreux de l'Institut de colonisation ­ aujourd'hui dans le collimateur de la justice ­ vendent 45 pesos l'hectare (12 euros), à des prête-noms locaux, des terres qui sont proposées ensuite dans les journaux spécialisés entre 800 et 900 pesos (entre 230 et 260 euros). Les paysans locaux qui vivent sans titre de propriété sur ces terres depuis parfois plusieurs générations sont expulsés. Puis le défrichage est l'occasion d'abattre et de vendre les bois durs précieux (algarobo, quebracho, lapacho), dont la commercialisation est normalement interdite hors des frontières. Enfin s'installe la monoculture hautement mécanisée du soja transgénique, à coups d'engrais qui épuisent le sol. Qu'importe ! Le soja est très rentable. Non seulement pour le producteur, mais aussi pour l'Etat, auquel il apporte le quart de ses ressources fiscales. Une fois les coûts de production et les frais de transport déduits, les impôts payés, il reste à l'agro-industriel un revenu net de 85 euros par hectare. En Argentine, le soja transgénique, dont les cours sont portés par la demande chinoise, a encore de beaux jours devant lui.

Prophéties des indiens





"J'assiste avec tristesse au déclin de notre noble race. Nos pères étaient forts et leur pouvoir s'étendait sur tout le continent américain. Mais nous avons été réduits et brisés par la ruse et la rapacité de la race à peau blanche. Nous sommes maintenant obligés de solliciter, comme une aumône, le droit de vivre sur notre propre terre, de cultiver nos propres terres, de boire nos propres sources.
Il y a de nombreux hivers, nos sages ancêtres ont prédit qu'un grand monstre aux yeux blancs viendrait de l'Est, et qu'eu fur et à mesure qu'il avancerait il dévorerait la terre. Ce monstre, c'est la race blanche, et la prédiction est proche de son accomplissement."
O-no'-sa, chef indien
"Le changement du costume tribal pour celui de l'homme blanc fut brutal. Les effets sur la santé et le confort des enfants furent considérables. Notre premier grief fut d'avoir les cheveux coupés. Les hommes Lakotas ont toujours porté les cheveux longs. Plusieurs jours après avoir été tondus, nous nous sommes sentis bizarres et mal à l'aise. Si l'argument avancé était vrai, à savoir l'élimination des poux, pourquoi les filles n'avaient-elles pas subi le même traitement que les garçons?
La vérité, c'est qu'ils voulaient nous transformer. Les cheveux courts étant la marque distinctive de l'homme blanc, on nous l'imposa, alors que lui-même conservait sa propre coutume de se laisser pousser les poils du visage."
Standing Bear, chef indien Lakota
"Les Wasichus nous ont mis dans ces boites carrées (maisons), notre pouvoir s'en est allé et nous allons mourir parce que le pouvoir n'est plus en nous.
Nous sommes des prisonniers de guerre tant que nous attendons ici. Mais il y a un autre monde."
Hehaka, ou Black Elk (Wapiti Noir), indien Sioux
"Enfant, je savais donner. J'ai perdu cette grâce en devenant civilisé. Je menais une existence naturelle, alors qu'aujourd'hui je vis de l'artificiel. Le moindre joli caillou avait de la valeur à mes yeux. Chaque arbre était un objet de respect. Aujourd'hui, j'admire avec l'homme blanc un paysage peint dont la valeur est exprimée en dollars !"
Chiyesa, écrivain indien contemporain
"Je suis allé à l'école des hommes blancs. J'y ai appris à lire leurs livres de classe, les journaux et la bible. Mais j'ai découvert à temps que cela n'était pas suffisant. Les peuples civilisés dépendent beaucoup trop de la page imprimée. Je me tournai vers le livre du Grand Esprit qui est l'ensemble de sa création. Vous pouvez lire une grande partie de ce livre en étudiant la nature.
Si vous preniez tous vos livres et les étendez sous le soleil, en laissant pendant quelque temps la pluie, la neige et les insectes accomplir leur oeuvre, il n'en restera plus rien. Mais le Grand Esprit nous a fourni la possibilité, à vous et à moi, d'étudier à l'université de la nature les forêts, les rivières, les montagnes, et les animaux dont nous faisons partie."
Tatanga Mani (ou Walking Buffalo), indien Stoney (Canada)

"L'homme blanc, dans son indifférence pour la signification de la nature, a profané la face de notre Mère la Terre. L'avance technologique de l'homme blanc s'est révélée comme une conséquence de son manque d'intérêt pour la voie spirituelle, et pour la signification de tout ce qui vit. L'appétit de l'homme blanc pour la possession matérielle et le pouvoir l'a aveuglé sur le mal qu'il a causé à notre Mère la Terre, dans sa recherche de ce qu'il appelle les ressources naturelles. Et la voie du Grand Esprit est devenue difficile à voir pour presque tous les hommes, et même pour beaucoup d'Indiens qui ont choisi de suivre la voie de l'homme blanc.
Aujourd'hui, les terres sacrées où vivent les Hopis sont profanées par des hommes qui cherchent du charbon et de l'eau dans notre sol, afin de créer plus d'énergie pour les villes de l'homme blanc. On ne doit pas permettre que cela continue. Sans quoi notre Mère la Nature réagirait de telle manière que presque tous les hommes auraient à subir la fin qui a déjà commencé. Le Grand Esprit a dit qu'on ne devait pas laisser cela arriver, même si la prédiction en a été faite à nos ancêtres. Le Grand Esprit a dit de ne pas prendre à la terre, de ne pas détruire les choses vivantes.
Aujourd'hui, presque toutes les prophéties se sont réalisées. Des routes grandes comme des rivières traversent le paysage; l'homme parle à travers un réseau de téléphone et il voyage dans le ciel avec ses avions. Deux grandes guerres ont été faites par ceux qui arborent le swastika ou le soleil levant.
Le Grand Esprit a dit que si une gourde de cendres était renversée sur la terre, beaucoup d'hommes mourraient, et que la fin de cette manière de vivre était proche. Nous interprétons cela comme les bombes atomiques lancées sur Hiroshima et Nagasaki. Nous ne voulons pas que cela se reproduise dans aucun autre pays pour aucun autre peuple; cette énergie devrait servir à des fins pacifiques, non pour la guerre.
Nous, les chefs religieux et porte-parole légitimes du peuple indépendant des Hopis, avons été chargés par le Grand Esprit d'envoyer au président des Etats-Unis et à tous les chefs spirituels une invitation à nous rencontrer pour discuter du salut de l'humanité, afin que la Paix, l'Unité et la Fraternité règnent partout où il y a des hommes."
Lettre des Indiens Hopis au président Nixon en 1970

Ces textes sont extraits du livre de T.C.Mac Luhan, "Pieds nus sur la terre sacrée", une anthologie de la philosophie, du mode de vie et de la destinée des Indiens d'Amérique du Nord.

mercredi 21 février 2007

Arbol Magico : El Mundani una especie para salvar la nuestra...





Ambiente
Sembrar oxígeno El cultivo del Mundani, también conocido como Cedro Rosado de la India, no sólo favorece la producción de oxígeno, sino que además genera ganancias a los guatemaltecos.
Por: Nancy AvendañoFotografía: Carlos Sebastián
En los últimos tres años varios terrenos de Coatepeque, Malacatán, San Marcos, Retalhuleu, Santa Lucía, Escuintla, Huehuetenango, Izabal, Petén, Cobán y Jutiapa han sido cubiertos con tres millones de Mundani, un árbol originario de la India que se conoce con el nombre de Cedro Rosado, considerado generador de oxígeno.
Se trata de una leguminosa cuyas características de crecimiento la hacen especial, tanto para la conservación del medio ambiente como para la generación de ingresos.
A los tres meses, el Cedro Rosado de la India está listo para ser sembrado.
En menos de diez años, el árbol alcanza altura y grosor suficiente como para producir cuatro docenas de tablas, algo que llevaría 20 años a un pino, 30 años a un cedro común y entre 40 y 50 años a una caoba. Es eso lo que convierte al Mundani en un auténtico productor de oxígeno.
A ese beneficio se suma que, una vez cortado, el árbol retoña, ofreciendo nuevamente —diez años después— madera utilizable y producción de oxígeno abundante. “Eso sucede hasta en tres ocasiones”, asegura Antonio Gutiérrez, gerente general de Desarrollos Constructores Forestales, Decoforest, la empresa que promueve el cultivo de la especie. “Los hacemos para conservar el medio ambiente, pero también para desarrollar la industria maderera en el país”, agrega.
Salvar el planeta
Según datos del Fondo Mundial para la Naturaleza, WWF, por sus siglas en inglés, el planeta cuenta con alrededor de 11 mil 400 millones de hectáreas de recurso natural, incluyendo tierra y mar productivos. Eso significa que cada habitante dispone proporcionalmente de 1.9 hectáreas, las cuales debería regenerar al hacer uso de ellas. Sin embargo, es muy poco el recurso natural que actualmente se utiliza en forma racional. Más aún, en algunos países el uso es desmedido.
Los europeos, por ejemplo, consumen cinco hectáreas por persona y el norteamericano 9.6 hectáreas por habitante. Eso significa que en promedio la población mundial está consumiendo 2.3 hectáreas de recursos naturales por individuo, es decir, 0.4 veces más de lo que debería. “De seguir así, en los próximos 50 años el recurso natural regenerable habrá terminado”, concluye la WWF.
La NASA, por aparte, estima que cada minuto se destruye una hectárea de bosque. “En 21 años habremos acabado con él”, comenta Mombiela. Es por eso que cada vez se hace más urgente plantar árboles y Guatemala, por ser un país con suelo forestal, tiene ventaja en ello. “En Oregon, EEUU, un pino tardaría en crecer 50 años y en Guatemala, debido a su posición, únicamente requiere de 20 años”, asegura Mombiela, quien agrega que si se trata de un Mundani la ventaja se acelera, pues el ritmo de crecimiento se incrementa tres veces.
“El mayor beneficio está en que cuando un árbol crece más rápido consume mayor cantidad de CO2, el cual al juntarse con el agua forma la celulosa que es igual a madera”, explica. Por otra parte, el Cedro Rosado de la India también beneficia el entorno natural donde está sembrado, pues tiene la capacidad de fijar nitrógeno. “Cuando hay una tempestad, por ejemplo, se libera nitrógeno en el ambiente. El Mundani tiene la capacidad de captarlo, de llevarlo a sus raíces y de fijarlo en el suelo”, detalla Mombiela. Y como el nitrógeno es urea, añade, proporciona alimento a todas las plantas que están alrededor de ella. Así, empieza un sistema de vida completo, el cual proporciona alimento a las plantas que lo rodean, a la vez que lo almacena para utilizarlo cuando lo necesite.
Negocio latente
Al beneficio ambiental del Mundani se suma otro económico, pues su rentabilidad es alta en poco tiempo. A partir de los seis o siete años la madera ya es aprovechable. “Llega a producir unas cuatro docenas de tablas por árbol”, comenta Gutiérrez. Esto porque su corteza es delgada y buena parte del tronco libre de ramas, lo que permite aprovecharla de mejor forma.
Así las cosas, una manzana cultivada con Cedro Rosado produce ganancias de alrededor de Q227 mil en ocho años, si se toma como base el precio comercial del pino que es de Q3 por pie. “Al sembrar una caballería se obtendrían Q14,528,000”, asegura Gutiérrez.
La madera del Mundani es fácil de tornear, cepillar y pulir. Su uso es variado, pero se recomienda principalmente en acabados finos del interior de las viviendas, para fabricar techos, pisos, escaleras, puertas y muebles.
Esas ventajas han hecho que el Mundani haya empezado a ser cultivado en el país hace aproximadamente tres años, no sólo con la esperanza de explotar la madera, sino también de contribuir a mejorar el ambiente y, ¿por qué no?, de vender oxígeno a los países desarrollados. “Allí está el futuro de la gente visionaria”, expresa Mombiela.
Decoforest también ha iniciado un programa de educación dirigido a estudiantes de colegios e institutos. “Nuestros técnicos visitan los centros escolares para explicarles la importancia de cultivar un árbol y cómo es el proceso de trasformación de CO2 en oxígeno”, refiere Gutiérrez. Y es que ellos están convencidos de la importancia ambiental de generar bosques. “Los niños deben saber que tener un árbol contribuye a gozar de un ambiente sano”, concluye.

Muchas gracias Sandra / mi region Provence




Sandra estas fotos son de mi region, que es de ganado llanares,olivas, y sobré todo de vino muy bueno.
Klica sobré las fotos.
Antoine :
La idea es escribirte largo, espero tengas tiempo de leer ....
Estuve leyendo tu blogg me parecio fascinante tu idea, tiene espiritu... Me parece que estas totalmente convencido y que mas que un proyecto agroturistico es un proyecto de VIDA. Porque a qui en argentina los que nos dedicamos a la produccion de animales o a la vida en el campo decimos que "en el campo no hay fiesta ni siesta" es decir no hay tiempo para el demasiado descanso o diversion...
Como sabras argentina es uno de los mayores productores de soja a nivel mundial, la soja en si es un cultivo que deteriora y agota los suelos... va quitando paso a la ganaderia y a otro tipo de cultivos monopolizando los ambientes... un proyecto como el tuyo que quiere mejorar y recuperar los bosques naturales (parque chaqueño en ete caso) es un proyecto que merece toda mi atencion.
El tema de los arboles: cedro rosado de la india: es bastante interesante, ademas cuentas con leyes como las del gobierno de Santiago que te apoyan, ya que creo cubren el 80% de los gastos en los que incurras al forestar... Implantar demas una pastura le agrega un valor altisimo a tu proyecto porque recupera, enriquece y preserva estos suelos. No creo que estas tierras se salven del avance de la soja, hay varios pools de simembra que ya se han comprado al norte de Santiago y sur este de Salta tierras que han desmontado irracionalmente para plantar soja, asi que un proyecto como el tuyo debe ser doblemente tenido en cuenta...
Hasta tanto estos arboles puedan crecer para alcanzar los diametros comerciales, puedes iniciar la construccion de cabañas, haciendo agroturismo con cabras (tambo con elaboracion de quesos artesanales) que es una actividad que en el norte esta teniendo mucho exito y demanda. Puedes pensar en una cabaña de cabras (para hacer exclusivamente genetica) ya que en argentina no hay ninguna.
Otra opcion es tambien y la mas apasionante la implantacion de pasturas para cria de ganado vacuno, que para mi esa puede ser la actividad que realmente te resulte rentable junto a la forestacion para pensar hacer cabañas mas hacia el sur, segun lo que vi en tu pagina...
Un dato importante para esto es que en el norte de la argentina , los volumenes producidos de carne vacuna no logran satisfacer la demanda del mercado interno, por eso a pesar de tener campos aptos para la ganaderia y muy buen ganado , lo que se produce no alcanza, por lo que debemos recurrir a comprar carne de santa fe , cordoba y bs.as " carne " del sur le llamamos.
Con respecto a los bufalos te comento que las razas que se comercializan en argentina son muy diferentes a los bufalos o bisontes europeos. Puedes consultar la siguiente pagina http://www.bufalos.org.ar/.
Es una actividad que esta mas o menos desarrollada en Misiones, entre Rios, Formosa y esta en auge recien en Salta, Tucuman y Santiago del Estero
Espero que estos puntos que he enunciado sirvan para tu emprendimiento.
Lo que quieras preguntarme puntualmente, sea costos de inversion, metodologia de trabajo o contactos no lo dudes preguntame. Contestarte no me cuesta nada y ADELANTE CON TU PROYECTO ES MUY MUY BUENO.

Atte SANDRA Terán

lundi 19 février 2007

Pures Merveilles de la Nature



Les chevaux Sud Américains


Le Criollo:
Le fameux cheval des gauchos. Descendant direct des chevaux importés au Nouveau monde par les conquistadors, durant le XVIème siècle. Durant quatre siècles, ces chevaux s'adapteront à l'environnement des grandes plaines sud américaines pour en subissant une sévère sélection naturelle. Cette adaptation, aux conditions de vie du milieu, leur a permis de développer ses grandes qualités de résistance aux maladies et de sobriété. Cette résistance fait l'orgueil des Argentins qui organisent des épreuves d'endurance sur des distances pouvant atteindre 700 à 800 kilomètres à parcourir en une quinzaine de jours. Lourdement chargés et devant se nourrir sans aide ou apport extérieurs, le cheval termine l'épreuve, légèrement amaigri mais tout aussi fringant que le jour de son départ. En Argentine, le substantif comme l’adjectif criollo – qui signifie créole soit une personne de race blanche née dans une colonie d’outremer – désigne tout ce qui est de nature autochtone par rapport à ce qui est étranger. Un buen criollo n’est pas un bon cheval mais un bon Argentin (de pure souche). Mais on qualifie aussi le cheval indigène : el caballo criollo. Le criollo est aussi bien sûr une race à part entière dont le standard est désormais fixé. On trouve encore des criollos de campo (de type fondation), mais ils cèdent progressivement la place au criollo puro. Les pures races avec papiers, éducations, talents se négocient aux environs de 8 000 dollars (environ 50 000 francs). Les criollos de campo généreux, tous terrains, infatigables trouvent preneur dès 2 000 francs. On nous en a proposé une vingtaine pour 20 000 francs. Reste bien sûr à les exporter. Et ça c’est une autre histoire.
Marc Bainaud

Le Paso Peruan:
Le paso péruvien fait partie des " caballos de Paso " expression qui réunit les races de chevaux d'Amérique latine (Pérou, Colombie, Puerto Rico, République dominicaine et Cuba). Il se distingue par des allures particulières dont la plus réputée est le " paso llano " (l'équivalent du Tölt), un amble rompu à 4 temps à laquelle l'action relevée des antérieurs confère beaucoup de brio et d'élégance. C'est une allure latérale, merveilleusement confortable, dans laquelle le poser du postérieur précède celui de l'antérieur du même coté. Outre le paso llano, est également admis par les péruviens le " paso sobreandando ", une allure à 4 temps, légèrement décalée vers l'amble, et plus rapide. Enfin, certains chevaux présentent le " termino ", mouvement gracieux et balancé des antérieurs vers l'extérieur donnant l'impression que le cheval danse…ou nage le crawl ! En revanche, le trot et l'amble pur ne sont pas acceptés.

Le Paso Fino :
Le paso fino fait également partie des " caballos de paso ", mais il diffère du paso péruvien dans ses allures. Dans les années 60, des sujets d'élevage de haute qualité ont été importés aux Etats-Unis, ce qui a permis de développer le paso fino américain, aujourd'hui très réputé. Les allures de base du paso fino sont, selon la vitesse : le " paso fino ", le paso corto " et le " paso largo ". Le paso fino, marche de parade spécifique aux chevaux bien dressés, est une allure à 4 temps très rapide avec peu d'avancement, et très rassemblée. En effet, contrairement au paso péruvien, le paso fino fait des foulées courtes. Il ne présente pas d'action relevée des antérieurs, et ne possède pas d'allure du " termino ". Le trot et l'amble pur ne sont pas acceptés.

Extrait de Cheval magazine N° 345 - Août 2000.

dimanche 18 février 2007

La viande de Bison






Qualité nutritionnelle de la viande de bison:


SA SAVEUR: Le bison a un goût savoureux. La majorité des gens interrogés trouvent que le bison est la viande la plus savoureuse qu’ils aient goûtée. La viande de bison est très tendre. EIle se cuisine de la même façon que le boeuf. SA VALEUR: Le bison est classé dans la catégorie des viandes gourmets ou de spécialités. La valeur du bison ne se calcule pas en terme de coût mais en fonction de ce que vous obtenez en retour. Au point de vue nutritionnel, vous avez plus de protéines, d’éléments nutritifs avec moins de calories et moins de gras. Le bison est une viande dense qui vous donne plus de satisfaction en mangeant moins

.
LES AVANTAGES POUR LA SANTE: Les bisons sont manipulés le moins possible. Ils passent leur vie dans les prés, comme ils l’ont toujours fait, sans contact avec l’homme. Ce mode d'élevage et les qualités nutritives de la viande de bison en font un aliment très adapté au régime des sportifs et des personnes agées
C’est une viande qui est encore 100 % naturelle.
LES QUALITES NUTRITIVES: Les recherches effectuées par le Dr. Marchello à l’université du Dakota du Nord ont démontré que la viande de bison possèdait d’excellentes qualités nutritives .Elle est peu calorique, pauvre en gras et en cholestérol. Elle est par contre riche en protéines, en fer et en certains acides gras essentiels bénéfiques à la santé.
Pour 100 g de viande maigre cuite
Espece
Gras (g)
Calories (Kcal)
Cholestérol (mg)
Bison
2,42
143
40
Boeuf
9,28
211
86
Porc
9,66
212
86
Poulet
7,41
190
89

La viande de bison a constitué la base essentielle de la nourriture des grandes nations indiennes durant toute leur existence. Depuis plusieurs années en France, elle prend une place grandissante, et n'est plus une rareté. Il est aujourd'hui possible de se procurer du bison très facilement toute l'année. Riche en protéines, pratiquement dépourvue en graisse et en cholestérol, la viande de bison se veut saine et diététique. A titre de comparaison, le tableau suivant révèle les grandes différences qualitatives de cette viande par rapport au boeuf:
BOEUF
BISON
Graisse en %
27,9
2,8
Cholestérol en m.g./100g
87
39
Protéines en %
24
35
Fer en %
0,31
0,43
Calories pour 100g
265
110
Valeurs énergétiques moyennes Sources: Agricultural Experiment Station - South Dakota State University

UNE SAVEUR INCOMPARABLE
Animal de nature farouche, le bison est élevé de manière extensive et naturelle, ce qui explique l'incomparable saveur de sa viande. En terme gustatif, la viande de bison se rapproche de celle du boeuf. Elle a l'avantage d'être saine mais aussi très tendre. En effet, le bison, que vous le serviez saignant ou à point, saura vous conquérir par son fondant et sa saveur

LE GOUVERNEMENT DU CANADA SUBVENTIONNE L'ACQUISITION D'UN TROUPEAU DE BISONS EDMONTON (ALBERTA),
le 16 août 2001 L'honorable Robert Nault, ministre d'Affaires indiennes et du Nord Canada, a annoncé aujourd'hui une mise de fonds de 250 000 $ pour permettre à six Premières nations du centre est de l'Alberta de pénétrer l'industrie du bison.
« Le gouvernement du Canada remplit son engagement à travailler dans le cadre d'un partenariat à mettre sur pied une vaste gamme de mesures afin de faire progresser le dossier du développement économique des Autochtones, a déclaré le ministre Nault. L'un de nos objectifs est d'éliminer des obstacles et de créer des débouchés propices au développement économique et à l'autosuffisance à long terme des Autochtones. »
Le projet concerne l'acquisition par six Premières nations (Heart Lake, Beaver Lake, Goodfish Lake, Kehewin, Cold Lake et Frog Lake) d'un troupeau d'environ 100 bisons des bois provenant du parc national Elk Island et se divise en quatre volets : une opération d'élevage de taureaux; une exploitation vache-veau; l'approvisionnement en bisons d'autres Premières nations et parcs nationaux du Canada, et la commercialisation de la viande.
Le projet des bisons des bois de Northern Lakes a été constitué en société en août 2000 de façon à faciliter l'élevage des bisons à des fins commerciales. Les six Premières nations associées sont parvenues à une entente en ce qui a trait à l'acquisition d'un troupeau de bisons des bois du parc national Elk Island. De plus, ces partenaires ont conclu une entente de location de terres avec la Première nation de Heart Lake pour pouvoir accéder à dix parcelles de terres situées dans la réserve de cette dernière. Les terres seront affectées à l'élevage des bisons.
Le gouvernement fédéral accorde une somme de 250 000 $ pour la réalisation du projet, qui coûtera trois millions de dollars. L'apport des Premières nations est de deux millions de dollars en éléments d'actif et en espèces.
L'emplacement de la Première nation de Heart Lake est idéal car celle-ci dispose de suffisamment de terres pour assurer le bon fonctionnement et l'épanouissement éventuel de l'opération existante. L'emplacement sera entretenu de manière à ce qu'il reflète dans la mesure du possible un habitat naturel. À cet effet, l'habitat couvre une superficie adéquate aux fins de pâturage et il est suffisamment boisé pour permettre aux animaux de se protéger du soleil et du vent. Bref, on y retrouve une topographie et une végétation très variées.
Le projet des bisons des bois de Northern Lakes a un grand potentiel de réussite et il est une excellente occasion de diversifier l'économie des Premières nations. Il s'agit là d'une industrie en plein essor qui s'annonce particulièrement prometteuse dans le domaine de l'élevage des bisons.
Par ailleurs, une hausse considérable de la demande de viande de bison est à prévoir au cours des prochaines années.
On s'attend à ce que le projet crée environ 65 emplois (à temps plein, à temps partiel et saisonniers), dont 40 seront réservés aux membres des Premières nations.
Pour obtenir plus de renseignements, veuillez communiquer avec :
Glenn LuffDirecteur, Communications et Services à la haute directionAffaires indiennes et du Nord CanadaBureau régional de l'Alberta(780) 495-6638(780) 940-9880 (cellulaire)

samedi 17 février 2007

A la attencion de Sandra

Ya te daras cuenta que tengo la passion de los Buffalos, y con ellos estoy elaborando my proyecto. Ay que estudiar la mejor forma de organisar lo que intento , de presentar aqui en my blogg. Con varias actividades para que sea rentable rapidamente, y que se pueda luego invertir protéjando la Naturaleza, con forestacion y gestion de fauna de caceria.
E intentado explicarte de lo mejor possible my proyecto completo, y tambien la especie de arboles qui pienso forestar, que son muy buenos para los suelos. Metiendo los Buffalos a parte, tienes razon. Bajo de esos arboles se pueden meter Vacunas.
Muchas gracias.
Il reste a mettre au point les périodes de chasse pour les touristes Européens qui viendront.
Le Ranch doit fonctionner comme une entreprise si je veux que mon projet soit viable et qu'il puisse me rapporter suffisament pour ensuite investir dans la protection de la Nature.

Cedro Rosado

Esta guía forestal resume los conocimientos que hasta el momento, se tienen en México y el resto de países que dentro de sus programas silvícolas de árboles de rápido crecimiento y usos múltiples, incluyen a la especie Acrocarpus fraxinifolius.
En México, el cedro rosado se planta a partir del nivel del mar y hasta los 1,400 metros sobre el nivel del mar, en climas con precipitaciones que van desde los 800 a 3,000 milímetros, de preferencia, bien distribuidos durante el año, ya que no tolera periodos prolongados de sequía.
Este árbol tiene un extraordinario desarrollo cuando se expone a plana luz solar, ya que es una especie heliófila, con temperaturas de los 12 a 35 grados Celsius y una humedad del aire que oscile entre 50 y 85%.
Es preciso señalar que no resiste los encharcamientos, prefiriendo los suelos francos, profundos, con buen drenaje. Es susceptible a las heladas.
Existen plantaciones comerciales en los estados de Puebla, Veracruz, Oaxaca, Chiapas, San Luis Potosí, Colima, Michoacán y Tabasco y de menor importancia en otras regiones del país.
Otros nombres comunes para este árbol son Mundani (India), Lazcar (México), Pink Cedar (Inglaterra), y también se le conoce como fresno hindú, cedro de la india y cedro rojo.
El cedro rosado es nativo del sur de la India, Asma, este del Himalaya, incluyendo Nelap, Bhutan, Burma y Sumatra.
DESCRIPCIÓN DE LA ESPECIE

El cedro rosado es un árbol grande que en México llega a alcanzar en las regiones cafetaleras los 35 metros de altura y es muy usado en proyectos agroforestales. A la altura del pecho alcanza diámetros de 0.80 a 1.10 metros. La característica principal del cedro rosado, además de su rápido crecimiento, es que es un árbol de un solo tronco, de fuste recto y limpio, pudiendo alcanzar 18 metros de altura de aprovechamiento para madera aserrada.
Las hojas son grandes, compuestas, bipinadas. Las flores aparecen en racimos y son de un color rojo escarlata. Generalmente, la floración ocurre en los meses de marzo y abril, en árboles que alcanzan 10 o mas años. Las vainas aplanadas de 8 a 12 centímetros de largo y conteniendo en promedio 10 semillas de forma ovalada y aplanada. La copa o corona es liviana y redondeada.
Crece en suelos con un pH que va de 5.5 a 7 preferentemente. Las condiciones de suelo son de gran importancia en el desarrollo del Acrocarpus fraxinifolius, aunque puede establecerse en la mayoría de los tipos de suelo. Los rendimientos mas satisfactorios se dan en suelos profundos, húmedos pero bien drenados y sin obstáculos, ya que las raíces llegan hasta los 4.5 metros de profundidad.

vendredi 16 février 2007

Reboisement / Forestar

Sábado 17 de Febrero del 2000

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Dice la leyenda que los primeros árboles de esa especie llegaron a México en las manos de Lázaro Cárdenas, presidente desde 1.934 a 1.940 y una de las figuras más queridas de México. Al árbol se lo conoce como “Lázcar”, por el nombre del ex mandatario. Pero fue el productor de café Hermilo Cruz, quien descubrió el potencial comercial del Acrocarpus fraxinifolius, una leguminosa de origen indio, que pude alcanzar los 60 metros de altura.

Los atractivos del “Lázcar” son muchos. Es resistente a plagas y termitas, su madera puede ser utilizada para celulosa y su savia funciona como fertilizante orgánico para plantaciones de café y cacao.
Asociado al desarrolló forestal y un nuevo negocio, es plantar y ganar dinero con el “Lázcar”.

Buffalo America

D'une manière générale on peut caractériser le bison par 6 termes qui lui sont propres (national buffalo association, 1991) :

1. Adaptation :le bison peut s'adapter à de nombreux milieux de vie, à une alimentation variée et à différents systèmes d'élevage. Cette facilité d'adaptation est le résultat d'une sélection naturelle au fil des temps.
2. Agilité et force : Le bison est un animal très agile et puissant. Il a la capacité de sauter un obstacle de 1.5 m et de galoper à près de 60 km/h en vitesse de pointe.
3. Grégaire :Le bison est un animal qui vit exclusivement en troupeau. L'appartenance à un groupe est très importante et est régie par des règles strictes.
4. Organisation sociale :Le troupeau de bison est fortement structuré sous forme de hiérarchie. L'âge, la taille, le caractère et de sérieux combats déterminent cet ordre. Chaque animal a sa place dans la hiérarchie. On distinguera ainsi des animaux dominants et d'autres dominés.
5. Dominance sexuelle : Le plus gros et le plus fort des bisons (le mâle dominant du troupeau) assurera la majorité des saillies pendant la période de reproduction. Les subordonnés pourront alors saillir des bisonnes seulement lorsqu'il y en a plusieurs en chaleur.
6. Instinct maternel : Les bisonnes sont de très bonnes mères. Elles sont très protectrices vis à vis de leur veau et se trouvent souvent à proximité de lui.
La Faune sauvage d'Argentine est une merveille. Pour la découvrir, je vais organiser des sorties découvertes a Cheval ou en 4X4.

Merveilles de la nature

Il n'y a que la nature qui peut créer des etres vivants avec une telle perfection. Vivre au contact de la Nature, est un privilège. La construction du reve commence ici et maintenant. Je ne sais pas encore si j'irais au bout de ce reve, mais je vais tout faire pour y arriver.

Un idéal de société

Une société idéale a certainement été anéantie par la stupidité de l'Homme. Vivre en armonie avec la nature, suivent les saisons, l'ivrèsse des grands espaces, la vraie liberté.
Comment aurait pue évoluer les Amérindiens?

jeudi 15 février 2007

mercredi 14 février 2007

Bonjour a tous je viens de créer mon blog et je vous tiendrais au courant de mes péligrinations.
Buenos dias a todos!